Razan Al Mubarak prône pour une action au-delà de 2030 lors du Sommet mondial des gouvernements

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Lors du Sommet mondial des gouvernements (WGS) 2025 à Dubaï, Son Excellence Mme Razan Al Mubarak s’est jointe aux dirigeants mondiaux, aux décideurs et aux experts pour discuter de l’avenir du développement durable, de l’innovation et de la philanthropie.

En tant qu’intervenante à la table ronde ministérielle 2045 de XDG, Mme Al Mubarak a souligné la nécessité d’accélérer la mise en œuvre des cadres mondiaux existants en matière de durabilité, y compris les Objectifs de développement durable (ODD), le cadre mondial sur la biodiversité, et l’Accord de Paris sur les changements climatiques. Plutôt que d’élaborer de nouveaux cadres, elle a souligné l’urgence d’améliorer la collaboration, de tirer parti de l’innovation transformatrice et d’assurer un impact à long terme.

Mme Al Mubarak a également participé à une table ronde sur la philanthropie dans les pays du Sud, au cours de laquelle elle a expliqué comment la philanthropie indépendante et axée sur les valeurs peut jouer un rôle crucial pour relever les défis mondiaux urgents. S’inspirant de l’exemple Fonds Mohamed bin Zayed pour la Conservation des Espèce (Fonds MBZ), elle a souligné l’importance des modèles de financement directs et non restreints, qui permettent aux défenseurs de la conservation et aux communautés locales d’agir sans retards bureaucratiques ni influences politiques.

Des remerciements particuliers ont été adressés aux organisations qui ont rendu possible cette importante conversation, notamment le Bureau des affaires des citoyens et des communautés de la Cour présidentielle des Émirats Arabes Unis, à l’occasion du Sommet mondial des gouvernements 2025. Leur soutien souligne le rôle essentiel de la philanthropie pour relever les défis mondiaux et promouvoir des solutions durables.

Ses engagements au WGS ont renforcé le message selon lequel la voie à suivre nécessite une approche multipartite, intégrant l’expertise des gouvernements, des dirigeants du secteur privé, des organisations non gouvernementales et des communautés autochtones. Alors que le monde se tourne vers l’avenir au-delà de 2030, Mme Al Mubarak continue de préconiser des solutions collaboratives et fondées sur la science qui favorisent un réel progrès pour les gens et la nature.