La COP29 d'Azerbaïdjan a débuté à Bakou, où Razan Al Mubarak a eu l'occasion de rencontrer des représentants des parties de divers groupes de négociation afin de promouvoir des solutions climatiques inclusives et collaboratives. En tant que championne de haut niveau des Nations unies pour le changement climatique lors de la COP28, il est essentiel de participer à ces conversations, car c'est dans le cadre d'un dialogue direct que nous nous rapprochons d'objectifs communs, que nous répondons à des besoins régionaux uniques et que nous renforçons la vision collective d'une action climatique percutante :
« Avec ma collègue championne de haut niveau, Mme Nigar Arpadarai, nous avons écouté des voix provenant de tous les horizons, en nous entretenant avec des représentants de groupes tels que le Groupe Parapluie, le Groupe pour l'Intégrité Environnementale, l'AILAC, et l'Union européenne. Chaque groupe apporte des perspectives inestimables qui éclairent notre approche en matière de résilience, d'atténuation et de solutions fondées sur la nature. »




Tout au long des discussions, des mises à jour importantes ont été faites sur les progrès d'initiatives telles que la course à zéro, la course à la résilience et les percées de 2030, ainsi que sur l'importance d'une approche inclusive ancrée dans le programme d'adaptation de Charm el-Cheikh. Mme Al Mubarak a particulièrement insisté sur le fait que la protection de la nature doit être au cœur des stratégies climatiques, en veillant à ce que les voix des communautés autochtones, des femmes et de tous ceux qui sont étroitement liés aux écosystèmes naturels soient entendues et respectées :
« Ensemble, nous créons les cadres d'une action urgente et coopérative en faveur d'un avenir durable. »



